Mon niveau de Geekerie
La maladie s’est attaquée à moi entre 1995 et 2000.
Depuis, aucune thérapie ne m’a sortie de cette folie.
Il faut dire que les crises n’ont rien arrangé.
Mon psy a eu beau me prescrire prozac, lexomil, atarax, que sais-je encore…
Aucun résultat, le mal était là et bien là.
Incurable, tenace, insoignable, inguérissable.
Il m’a bouffée jusqu’au plus profond de moi, jusqu’au point de non retour.
Mon coeur bat au rythme des sms.
Mon cerveau fonctionne à la vitesse des notifications.
Oui, mais je le vis bien.
Vous le savez, ce billet fait partie du défi du mois de novembre :
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Je trouve que tu t’en sors bien pour une grande malade 😉
Et ça se sent que tu le vis bien